Etoile secrète

Etoile Secrète

♦ Clan; Rivière
♦ Rang; Chef
♦ Age; 61 lunes
♦ Sexe; femelle

Petit Secret

Nuage Secret

Secret Ephémère

Etoile Secrète

♦ Caractère;

Je vais essayer de vous dire comment moi je me perçois, puisque personne n’ose me parler de mon caractère. Je me demande pourquoi d’ailleurs… J’inspire surement le respect en tant que doyenne chef, aussi on ose pas me dire ce qu’on pense de moi. Je trouve cela stupide. Enfin, passons. Donc, je me trouve tout à fait … banale. Enfin je veux dire, je suis cordiale avec tout le monde, je tente de paraitre de bonne humeur etc. … J’ai tendance à garder mes problèmes pour moi. Je suis tout ce qu’un chef doit être. Et je joue si bien mon rôle que je pense avoir oublié mon caractère d’avant. Avant, si je me souviens bien, j’étais combattive, prête pour toutes les aventures, je ne riais pas tellement, mais quand j’aidais quelqu’un mon cœur rayonnait. Mais hier comme aujourd’hui, personne ne connais mon passé, donc je ne me confie à personne. Quand je dis que personne ne sait, c’est que je suis plus vieille que tout mon clan, hormis les deux trois anciens qui ont oublié mon histoire. Mon présent tourne donc autour de secrets, que personne encore n’a réussi à comprendre. Donc je suis la chef attentionnée, perspicace, loyale, forte, sage que tout le monde respecte, mais toutes mes peines restent cachées.

♦ Histoire;

Toutes les feuilles sont tombées. Les branches nues dansent lentement sur un air doux qu’elles seules semblent entendre. Le ciel est blanc, le sol terni, et on ne peut voir aucun signe de trouble. Le calme est là, l’ambiance est paisible. Il passe de temps de temps un oiseau chantant. Dans ma tête, c’était comme ça avant. Tout était simple, et filait comme un ruisseau. Quand je le voyais, quand il arrivait, quand je l’entendais, Lui, que j’aimais tant, les crocus sortaient de terre, les oiseaux arrivaient en masse sur les branches des arbres pour envahir l’atmosphère de leur chant joyeux ; dans ma tête. Mais ça, c’était avant.

Je me souviens que quand j’étais petite, ma mère nous a aimés. Mais pas pendant longtemps. Juste les deux premières lunes. Quand elle nous prenait contre, qu’elle nous donnait un coup de langue affectueux sur la tête, qu’elle battait de la patte pour nous offrir une occupation, qu’elle ronronnait en nous voyant ; elle nous aimait. Il y avait moi, et ma sœur, Petite Aube. Et puis il y avait Lui. Lui, c’était Petit Regret. Maman nous avais bien expliqué que Lui, il n’était pas sorti de son ventre à elle, mais de celui d’une autre Reine, qui était morte en le faisant naitre. Elle ne voulait pas qu’on confonde : Petite Aube et moi, on sortait de son ventre à Elle, pas Petit Regret. Moi, je voyais pas la différence puisqu’elle l’aimait autant que nous. Elle le léchait, jouer et ronronnait avec lui autant qu’avec nous, donc elle l’aimait. Je me rappelle de cet hiver. L’hiver est arrivé quand cela faisait deux lunes qu’on avait vu le jour. Il a fait très froid. Maman ne mangeait plus beaucoup. Et si elle mangeait plus beaucoup, nous non plus on mangeait pas beaucoup, puisqu’elle avait moins de lait. Un matin, mon ventre gargouillait, car la veille on avait presque rien manger. Et ce matin j’ai entendu Le cri. C’était maman. Je me suis retournée, elle était au dessus de Petite Aube. Elle l’avait prise par la peau du cou entre ses dents. Elle la secouait. Mais Petite Aube ne réagissait pas. On aurait dit qu’elle était toute dure. Maman l’a lâchée, et a secoué la tête en répétant « non » de plus en plus bas. Je n’ai pas compris tout de suite. Je suis allée vers Petite Aube, et je lui ai demandé pourquoi elle faisait pleurer maman. Comme elle ne répondait pas, je l’ai touché avec ma patte pour lui faire mal. Elle était vraiment dure. J’ai fait un bond en arrière, et je me suis cognée contre la paroi de la tanière. On m’a dit que Petite Aube était morte. C’est à partir de là que maman ne nous a plus aimer. Elle ne nous prenait plus contre elle, elle ne nous donnait plus de coups de langue, elle ne jouait plus avec nous. Donc, elle ne nous aimait plus.

Pour combler le vide que ma mère construisait autour de nous, je me rapprochais de Petit Regret. Maman avait beau dire qu’il n’était pas sorti de son ventre, il ‘en était pas moins important. Il devenait l’attraction de mes jours, et le rêve de mes nuits. Je l’aimais plus qu’un frère, j’en étais presque dépendante. Nous nous réveillons à la même heure, nous jouions ensemble toute la matinée, pendant que notre mère regardait fixement dans le vide un évènement qu’elle seule semblait voir. Elle n’était plus que l’ombre d’elle-même, la lumière était absente de ses yeux, elle ne bougeait presque plus, elle avait rejoint les anciens malgré son jeune âge, ne se nourrissait presque plus. Peu à peu, elle mon amour pour elle s’émiettait en douleur et en tristesse. Petit Regret et moi, on tentait de la faire sourire au début. Mais à toutes nos tentatives elle ne nous voyait pas, regardait au travers de nous. Les premiers jours, je pleurais. Pourquoi ma mère ne m regardait plus ? Pourquoi ne réagissait elle pas ? Pourquoi quand je tombais et que j’avais mal elle ne venait pas n courant ? Pourquoi ne venait-elle pas me réconforter quand je pleurais ? Pourquoi ne m’était elle plus ? Petit Regret venait à chaque fois me consoler. Il trouvait les mots, il connaissait les gestes pour me faire sourire. Nous avancions ensemble l’un contre l’autre pour palier à l’inexistence de mère. C’était pire que si elle était morte, car elle vivait, mais nous ne contions plus pour elle, et chaque jour nous le prouvait. C’est grâce ou à cause de tout cela que Petit Regret devenait ma bouée de sauvetage, le soleil de mes jours, celui qui ferait la guerre pour que j’ai la paix. Je dépendais de lui … Les semaines passaient… Nous eûmes un jour l’honneur de devenir apprentis. Bien sur nous étions heureux. Mais ce bonheur était taché par Son absence … Une fois l’entrainement commencé, ce fut plus facile de tenir les jours. Nous étions accaparés par notre apprentissage, et nous trouvions moins de temps pour voir notre mère se dessécher le cœur.

Puis ce fut la veille du baptême de guerriers. Nos mentors nous avaient prévenus que nous étions prêts, que nous avions appris tout ce qu’ils pouvaient nous apprendre, et que maintenant seul le temps et les épreuves pourraient nous apporter de l’expérience. A la suite de cette déclaration, Nuage de Regret m’entraina avec lui dans notre « coin secret ». Je vous épargnerais les détails du lieu … Nous avions fait le chemin en silence, et je sentais l’atmosphère tendue. Quelque clochait. Au bout d’un moment, il s’assit, je fis de même. Il avait les yeux fermés. Il resta ainsi quelques minutes, je le regardais. Quand enfin il se décida à parler, il ne me regardait pas dans les yeux. Et il m’expliqua. Maman lui avait dit un soir ou je n’étais pas là que c’était sa faute à lui. C’était à cause de lui que Petite Aube était morte. S’il n’avait pas été là, elle aurait eu assez de lait pour que Petite Aube survive. C’était sa faute. Elle lui avait craché ses mots à a figure, avec une glaciosité et une conviction de fer, transperçant le cœur du jeune matou, et lui laissant pour toujours un sentiment de culpabilité. Je l’écoutais, je voyais ses larmes qui coulaient. Moi j’écoutais sans broncher. Mais le sentiment de rage en moi s’animait, et le gout du sang de ma langue que je mordais pour ne pas crier se répandait dans ma bouche. Il releva la tête. Ses yeux trempés me fixèrent. « Je vais partir. Ce soir. Tout à l’heure. Tout de suite. C’est ma faute si Petite Aube est morte. C’est à cause de moi que maman n’existe plus. Tu verras, quand je serais parti, tout ira mieux. Tu resteras ici, tu deviendras guerrière. Tu ne me suivras pas. Tu va accomplir notre rêve, tu sais, de devenir un jour les meilleurs de la forêt. Demain, tu te feras baptiser. Tu va veiller. Le lendemain tu te reposeras. Puis tu iras faire ta première patrouille de guerrière. Et tu vivras, chaque jour de tout ton cœur, comme si c’était le dernier. Tu n penseras même plus à moi tellement tu seras occupée. Promets-moi que tu m’oublieras, que tu seras forte, que ta vie sera une utopie. Ne t’inquiète pas, tout ira bien. Tout sera comme si je n’avais jamais existé. Promets le moi. »

Il me laissait seule. Ma vie tournait autour de lui, je ne jurais que par lui, il partageait mes pensées, il était le remède à mes malheurs, il savait tout de moi, il m’avait tout donner, il m’avait protégé, je l’aimais, je dépendais de lui, et il partait. Il me laissait seule. Toute seule. Non. Il ne pouvait pas partir ! C’était une farce, un jeu ! Et comment imaginait il que je pouvais l’oublier ? Comment osait le concevoir ? Mon cœur se fendait, les larmes m’envahissaient. Je lui criais de rester. Il me dit qu’il était désolé. Je lui sautais dessus pour l’empêcher de partir, il m’envoyait bouler contre un arbre. Je sentis le choc sur m tête, et mes paupières devenues si lourdes qu’elles tombaient. Je sentais que je m’évanouissais. La dernière chose que je vit, ce fut son visage au dessus du mien, et ses lèvres qui bougeaient pour chuchoter ses derniers mots : « Je suis désolé. Je t’aime.»
Mon baptême fut repoussé jusqu’à ce que j’aille mieux. On me retrouva la veille, toujours endormie. Quand je me réveillais enfin, j’étais telle une folle. La panique me prenait, je cherchais mon frère dans l’infirmerie. Mais il n’était plus là. Il était parti. Laissant derrière lui un vide que jamais rien ne pourra combler. Ma convalescence s’étendit sur deux lunes. Deux lunes à pleurer, à sentir mon cœur se broyer. Mes nuits auraient put être un échappatoire à mes tourments, mais je devenait insomniaque. Ses derniers mots résonnaient sans cesse dans ma tête, me laissant à tout jamais cette impression d’être enfermée, de ne plus pouvoir respirer. En plus d’insomniaque, je commençais à devenir claustrophobe. On me trouvait folle dans le clan. Mais moi, j’avais seulement mal. Je commencer à songer à la mort, qui état peut être le meilleur moyen de mettre fin à tout cela. Le peu de sommeil que je trouvais était hanté par les souvenirs, et je criait pendant mon sommeil, me réveillant en sueur et pleurant sur ma litière. C’est ma mère qui provoqua ma « guérison ». Un soir, ou je pleurais encore en silence, elle vint me voir. Elle m’accorda, à moi, son dernier discours. On aurait que pour une dernière fois dans sa vie, elle retrouvait son amour pour moi, cette lumière dan les yeux. Elle me parla. Elle était désolée d’avoir gâché ma vie, c’était sa faute. J’étais sa fille chérie, et elle avait pris conscience qu’elle était la cause de ma douleur. Elle me promettait que dans quelques instants ma vie reprendrait, qu’elle ferait ce qu’elle devait pour que moi je réussisse, que je vive heureuse. Elle s’excusa encore une fois. Elle me dit qu’elle regrettait de ne pas m’avoir aimé comme elle devait. Puis elle fit demi tour et sorti. Je ne comprenais pas. Quelques minutes plus tard, j’entendis un cri chez les anciens. Ma mère s’était jetée contre un rocher, se brisant les côtes. Elle avait trouvé le plus court moyen pour que j’ai la paix, disparaitre de ma vie. Ce soir là, je ne pleurait pas. Ni pour elle, ni pour Nuage de Regret. Tous avaient voulu mon bonheur, même si à trop vouloir m’en donner ils m’avaient condamné. Je devais réussir. Pour mon frère. Je décidais de le garder dans ma mémoire, pour toujours, et je lui promettais en secret d’arriver au sommet pour lui. Mais si son absence me détruisait me détruisais et que sa présence me manquait pour avancer, je devais tout de même faire de mon mieux. Le lendemain, je fus baptisée guerrière. Tout se passa comme il avait prévu, hormis le fait que je n’oubliais pas …

♦ Physique;

Je ne suis ni plus ni moins qu’un chat. Un chat avec quatre pattes, une queue, des moustaches et deux oreilles. Certes j’ai mes caractéristiques. Un pelage mis long, soyeux, dans lequel j’ai du mal à tenir l’été, mais qui m’apporte bien du réconfort l’hiver. Une tache grise qui me traverse le dos et le dessus de la tête. Mes yeux sont jaunes-verts. Autant vous dire que je n’ai rien d’exceptionnel. On m’a toujours que c’était l’intérieur qui comptait. Et ma beauté, c’est à vous de juger. Ensuite, je suis assez trapue. On voit souvent plus rapide que moi, on voit déjà moins régulièrement plus endurant. Puis, j’ai appris le combat comme tout le monde, mais du haut de mes 61 lunes mon expérience est bien emplie, je me débrouille donc particulièrement bien au combat. Mon mentor m’a souvent répété que j’avais l’orgueil de la taille d’une patte de souris. Je ne réussirais donc pas à vous en dire plus …

The End

♦ As-tu lu le règlement ?; Non
♦ Les codes pliize; J'en ai vraiment besoin ??
♦ Tu aimes le design ?; voui ♥
♦ Comment as-tu connu le forum ?; La question ne se pose plus x) 2 ans que je harpente (the) new legend
♦ Niveau d'activité; 5.75 x)

Crep's

Re-welcome

Merci =D
J'ai pas avancer beaucoup, j'en suis qu'a l'intro de mon histoire --'

♥
MA CREPE

Crep'souille ♥

Crashoune ♥

Vifoune ♥

Crêpeuh ? La même que je connais ? Je suis Nix' ! =)

Oui c'est moi =DD
Oui je me souviens de toi ^^

Hop Hop Hop
dépêche toi D:
*taggle crash*

:DD
Je suis de retour chez moi (enfin) ,
laisse moi le temps de me reposer un peu ! xD
ça fatigue de supporter Daemon's 24/24 pendant 4 jours :O
Mais t'inquiète pas, je fais de mon mieux

x)
allez allez =°
je veux rp mouha

j'ai finit mon histoire!
Je finit en vitesse pour le cractère et le physique.

Finiiiiiiiit !